Condoléances
Chères Claudine et Michèle, et à vos familles, à toute la famille.
Le départ de quelqu'un qui nous est cher laisse toujours une cicatrice qui ne s'efface et ne guérit pas. Nous comprenons ce que vous ressentez pour la perte de votre maman.
Mais savoir que là, de l'autre côté de la porte restée ouverte, comme dit Julos, elle continue plus encore à aimer ceux qu'elle a aimés, à être plus attentive encore à tous et cela, dans la joie d'avoir retrouvé elle-même ceux qu'elle aimait et qui l'ont aimée et dans la plénitude d'un bonheur sans limite, adoucit un peu la séparation... Nous pensons bien à vous, toute notre sympathie attristée, bisous.
Jean-Marie et Geneviève Philippot-Pranger- 30-10-05