Hommage à Robert Herbrand

Aujourd'hui, c'est avec une profonde tristesse que nous apprenons et disons au revoir à Robert, un ami de longue date, quelqu'un avec qui nous avons partagé tant de moments précieux. Nos vies ont souvent suivi des chemins parallèles, marqués par des expériences communes, des joies et des défis, des rires et des réflexions silencieuses. Nous avions le même âge, et cela nous rapprochait d'une manière unique : il n'y avait pas besoin de beaucoup de mots pour se comprendre.
Robert était une personne d'une grande simplicité et d'une immense générosité. Toujours prêt à donner de son temps, à offrir un conseil ou simplement à être présent quand on en avait besoin. Sa sagesse n'était pas dans les grands discours, mais dans les petits gestes quotidiens, empreints d'une gentillesse authentique. Il savait écouter, une qualité précieuse de nos jours, et il avait ce don rare de faire en sorte que chacun se sente important.
Aujourd'hui, nous nous rendons compte à quel point Robert était un pilier dans la vie de ceux qui l'ont connu. Son absence laisse un vide immense, mais son souvenir continuera à nous accompagner, à nous réconforter. J'aime à penser, et j’ose espérer que, là où il est maintenant, il trouve la paix et qu'il veillera sur nous avec le même sourire bienveillant qu'il avait toujours.
Robert, tu resteras à jamais dans nos cœurs. Que ton repos soit doux, et que la mémoire de ta vie inspire ceux qui t'ont aimé.

Et je terminerais par les paroles de « Miche Fugain

Ou s'en vont ? Ou s'en vont ?
Tous ces potes qu'on aime, ces certaines affections.
Qu'on est long, qu'on est long
À dire les je t'aime qu'on pense quand ils s'en vont. »

Pour le Jahrgang 1956

Jean-Louis Mathonet en octobre 24

Jean-Louis MATHONET- 07-10-24